Les circuits de la frayeur
Les journées n’avaient plus de poids dans la ville d’Orléans, dès maintenant soumise à un distinction artificiel dicté par la régulation lumineuse. Tandis que la généralité des citoyens suivait un rythme imposé par les interfaces centrales, les archivistes, eux, vivaient au fil des impressions. Le temps n’était plus linéaire pour